SPORTS NAUTIQUES DE NAVIGATION

à propulsion humaine (aviron, canoe, kayak, radeau pneumatique (rafting), pirogue, dragon boat), à propulsion moteur (inshore, offshore, xcat, drag boat, hydroplane, jet sprint, motomarine , swamp buggy), à voile (voiliers), Speed sailing.

Vous pratiquez ou envisagez de pratiquer un sport extrême ?
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SPORTS NAUTIQUES DE NAVIGATION

Aviron (Rowing boat) : embarcation propulsée par des rames (avirons ou pelles) qui sont reliés mécaniquement à une embarcation étroite et allongée (traînière). Pour les embarcations à une place on parle de skiffs. Ce sport nautique peut se pratiquer en mer et en rivière. C’est la Fédération Internationale des Sociétés d’Aviron (FISA) qui régit ce sport. En France c’est la Fédération Française d’Aviron (FFA).

Canoe (canot, canoë-kayak ou canoë canadien) : embarcation destinée à naviguer sur lacs et rivières et propulsée par les pagaies, réalisées en fibres de carbone, en plastique ou en carbone, et qui sont tenues à la main par le pagayeur. Pour les loisirs ou les randonnées les céistes pratiquent aussi le canot-camping.

Kayak : embarcation légère dont la pratique peut se faire en eaux-vives et en mer à l’aide de pagaie à deux pales. Le canot est léger et peut se présenter sous différentes formes selon son usage. Il peut être équipé d’une jupe fixée sur l’hiloire permettant au kayakiste de redresser son embarcation en cas de chavirage (dessalage) en pratiquant l’esquimautage.

Radeau pneumatique : Le radeau, raft, est utilisé pour descendre des portions de rivières (rafting) dans lesquelles on rencontre des rapides (eaux vives). Plusieurs équipiers sont à bord et disposent de pagaies.

Pirogues : sa forme est longue et étroite et elle est propulsée à l’aide de pagaies. Elle peut être équipée de balancier et dans certain cas d’une voile.

Dragon boat racing : pirogue appelée bateau-dragon embarquent 20 pagayeurs, un batteur et un barreur.

Voilier (Sailing Yacht) : bateau à forme de coque (carène) effilé, équipé d’une quille (aileron vertical lesté), d’un safran et propulsé par le vent. Les gréements avec accastillages (winchs, enrouleurs), les haubanages et les spinnakers viennent compléter les équipements. De fortes différences existent entre les voiliers de plaisance et les voiliers de course qui portent sur la carène, l’étrave, les jauges, les quilles (pendulaires), les foils, les mâts à vérin hydraulique, le pilote automatique et le routage informatisé.

Bateau à moteur inshore (Inshore powerboat racing) : les compétitions ont lieu sur des lacs ou des rivières. L’équivalent des èpreuves de Formules 1 automobile sont, sur l’eau, les épreuves de catamaran F1.

Bateau à moteur offshore (Offshore powerboat racing) : embarcation très puissante destinée au sport motonautique de grande vitesse.

XCAT racing

Drag boat racing : forme de course de dragster sur l’eau qui se font sur trois longueurs de parcours, 1/8 de mile, ¼ de mile et 3/16 de mile.

Hydroplane racing : Course dans lesquelles le bateau à moteur utilisé, hydroplane ou hydro ou thunderboat, a une forme de coque telle que l’eau est utilisée pour le soulever hors de l’eau selon un processus appelé planage. L’embarcation est équipée d’un arceau de sécurité. La coque en V est courte et comporte des virures pour minimiser la glisse latérale du bateau dans les virages à grande vitesse.

Jet sprint boat racing : Course dans lesquelles les jetboats traversent des canaux dont la profondeur n’excède pas un mètre d’eau. L’équipage est constitué par un pilote et son navigateur.

Motomarine : plusieurs nom lui sont attribués car on parle de jet ski, de scooter des mers, de moto aquatique, de sea-doo. L’engin se pilote comme une moto car il est équipé d’un guidon comportant poignées, accélérateur, coupe-circuit.

Swamp buggy racing : engin à moteur réalisé ou modifié pour piloter dans les marais, la vase, le sable, la boue, la terre.

Dans toutes ces catégories de courses des équipements de sécurité pour la protection des pilotes sont utilisés. Selon le type d’embarcation ou d’engin, les cockpits sont en kevlar, les modules de pilotage sont à capsule fermée. Des systèmes de harnais de sécurité, des combinaisons anti-choc, le dispositif Hans, des arceaux de sécurité, des trappes pour évacuation en cas de retournement, des systèmes d’arrêt moteur, des parebrises et des systèmes d’alimentation d’oxygène d’un niveau de qualité équivalent à celui que l’on a en aéronautique.

Ces sports très dangereux sont des sports extrêmes.

De nombreux accidents sont à l’origine de décès ou d’invalidité importante et ces sinistres ne sont pris en charge par les assureurs que s’il est clairement précisé dans le contrat que ces activités sportives nautiques sont pratiquées. Dans le cas contraire, c’est l’exclusion automatique et le refus de prise en charge de l’accident par la compagnie d’assurance. no-limite.com qui est le spécialiste de la couverture des sports extrêmes apporte la solution pour les sportifs de l’extrême qui pratiquent ces activités. Les risques de décès et d’invalidité peuvent être couverts en ligne à hauteur de 200 000 € et une option permet de se garantir pour l’assistance, le rapatriement, les frais de recherche et de secours, les frais médicaux et d’hospitalisation et l’annulation de voyage ou de participation à un événement (inscription à un stage, une formation, une compétition) en France comme à l’étranger. 

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